Derrière ce détournement de la célèbre métaphore de Paul Éluard, se cache mon dernier oekaki. Il s'agit d'une étude de couleur sans prétention.

Réalisé en une heure et demi, j'ai tenté de sortir une atmosphère et des textures en ne m'appuyant sur rien. J'avais juste en mémoire un lever de soleil et son effet de contre-jour que j'avais observé alors que je commençais le travail.

Dans ma mémoire il s'agissait bien sûr d'un paysage urbain, et le contre-jour était bien plus intense ; presque tout était noir excepté le ciel proche de l'horizon.

Une Jungle Verte comme une Orange