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Tag - oekaki

Fil des billets

It's alive! ALIVE!

Ma tablette a ressuscité d'entre les morts. Bon, elle n'était pas vraiment morte, mais souffrait gravement de la maladie de Parkinson. L'aspect tablettoïde de cette maladie avait sûrement un rapport avec une sombre histoire d'interférence électro-magnéto-nucléo-psychique, ou pas loin. À moins qu'elle soit allée à Lourde sans me prévenir. Mais vu le prix du billet de train je n'y crois pas trop.

Voici ce que j'ai pondu en six trop longues heures pour ce que c'est : une petit déchirure du tissu de la réalité perpétuée par des envahisseurs extra-dimensionnels "ah! ouais?"

Je l'ai appelé Space Invaders, et ouais comme le jeu !

Space Invaders

Une Jungle Verte comme une Orange

Derrière ce détournement de la célèbre métaphore de Paul Éluard, se cache mon dernier oekaki. Il s'agit d'une étude de couleur sans prétention.

Réalisé en une heure et demi, j'ai tenté de sortir une atmosphère et des textures en ne m'appuyant sur rien. J'avais juste en mémoire un lever de soleil et son effet de contre-jour que j'avais observé alors que je commençais le travail.

Dans ma mémoire il s'agissait bien sûr d'un paysage urbain, et le contre-jour était bien plus intense ; presque tout était noir excepté le ciel proche de l'horizon.

Une Jungle Verte comme une Orange

La Découverte

e-Kaki a lancé un concours consistant à créer une carte postale qui sera (si elle est sélectionnée je présume) exposée à la Manga Expo qui se tiendra au Palais des Congrès à Paris les 21 et 22 Octobre 2006.

Je pense que pour de sombres raisons financières je ne pourrais malheureusement pas y assister.

Quoiqu'il en soit je vous présente l'oekaki que j'ai réalisé, je l'ai intitulé la découverte. Les visages représentent des habitués de la communauté (ne cherchez pas la ressemblance il n'y en a aucune). La coccinelle en est le symbole et le personnage serait un "nouveau venu" complètement paumé (il a une bonne tête non?) La Découverte

Une atmosphère insaisissable

Un besoin de dessiner un paysage, mais plus qu'un paysage, une atmosphère. Je voulais tenter une énième fois de dompter l'émission photonique de vos écran. Que celle-ci vous entraîne dans un monde que j'aurais crée de toute pièce et vous envoie subconsciemment des impressions...

Pour le paysage, je ne suis pas mécontent. J'ai en effet tant bien que mal obtenu... un paysage. Cependant, en ce qui concerne cette fameuse atmosphère, qui était en fait l'objet principal de mon besoin primaire de dessiner, je suis assez déçu.

Je n'ai pas encore cette maîtrise de la couleur que j'admire chez tant d'artiste. Je suis, je crois, encore trop terre à terre : je fais une pierre grise, un ciel bleu, de l'herbe verte. Bref, je ne sors pas des sentiers battus.

Mais pour sortir, toujours faut-il savoir pourquoi sortir. En effet, j'aurais voulu des impressions, mais lesquels?... Je n'ai même pas vraiment su répondre à cette question. Et c'est peut-être là où le bas blesse.

Quoiqu'il en soit, je me suis permis quelques fantaisies comme un format 16:9 et la contrainte expresse de ne jamais zoomer. Pourquoi? Pour ne pas me perdre dans les détails superflus, aller droit au but.

Voici donc l'oekaki que j'ai intitulé "Un lien invisible". Je vous laisse en deviner la raison. Un lien invisible

Sisyphe

Sisyphe fut condamné à faire rouler par la seule force de son ectoplasme un rocher relativement conséquent jusqu'en haut d'une colline. Comme, sa peine ne devait durer qu'une petite éternité, les dieux (surtout Zeus je pense), pour éviter la pénible tâche de créer une coline infinie, décidèrent de gacher le travail de notre bon ami en faisant redescendre son poids mort.

Bref, pour beaucoup ce mythe met mal à l'aise car il représente la pénible sensation de travailler dur pour rien. Mais pour moi, il représente surtout la personne qui ne se laisse pas abattre par ses échecs. Il continue même s'il n'a qu'une infime chance de réussir.

Pourquoi vous parlè-je de Sisyphe? Pour la bonne et simple raison qu'il est dans le titre de mon dernier oekaki : "La Catharsis d'un Sisyphe" La Catharsis d'un Sisyphe